Départ de l’armée française du Tchad et du Sénégal : une rupture historique et salutaire
Panafricanisme et « sentiment anti-français »
L’armée française s’en va, donc. Et il va falloir s’occuper de solder le reste, les autres chiffons rouges. D’abord, les ombres du passé et de la mémoire : le massacre de Thiaroye, la sanglante répression des révoltes malgache et camerounaise, le génocide des Tutsis du Rwanda, la guerre d’Algérie bien sûr, et toutes les taches sur le drapeau de la Coloniale (*). Le franc CFA, ensuite – mais c’est une autre histoire.
(*) Éclairant à lire dans ce contexte : Requiem pour la Coloniale de Stephen Smith et Jean de La Guérivière, vient de paraître chez Grasset à Paris.
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