Au procès de la Yemenia Airways à Paris, "la force de vivre" de Bahia Bakari, seule survivante du crash
Ce jour-là, "ma mère portait de belles boucles d'oreilles en or. Elle m'a dit qu'elle me les prêterait à l'occasion du mariage", relate la jeune femme d'une voix chevrotante.
"D'un coup, je me sens électrisée. Je ne peux plus bouger. Et puis, trou noir", poursuit-elle.
L'audience est brièvement suspendue.
"Globalement, on va bien", rassure-t-elle en faisant référence à ses trois petits-frères et sœurs, ainsi qu'à son père. "Je n'ai plus de mauvaises nuits".
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